C’est comment le Costa Rica, quand on y revient ? (part2)
Ne dit-on pas que parfois la deuxième fois est souvent la bonne ? Mais aussi que certaines fois il vaut mieux rester sur sa première impression ? Notre retour à San José et la pseudo “galère“ pour trouver un simple bus auraient-ils entaché notre enthousiasme de revenir au Costa Rica ?
- pour être seul au monde : Playa Junquilal ou Bahia de los Piratas
- pour le surf : Playa Grande, Playa Avallena, Playa Langosta ou Playa Negra (high level !). Il y a aussi la plage de Tamarindo idéale pour bien débuter mais attention tout de même au courant qui font dériver vers le large.
- pour buller avec un peu d’animation autour : Playa Conchal, Playa Flamingo, Playa Danta
Les Ticos roulent assez mal, le permis de conduire étant plus une formalité administrative qu’on passe avec sa propre voiture. Soit ils évoluent très lentement et il ne faut surtout pas s’énerver derrière eux sous peine d’aller à la faute. Soit ils foncent bien au-delà de la limite des 80 km/h. Cela concerne en particulier les bus, les camions et les pilotes de rallye en herbe disposant de voiture au tunning plus ou moins réussi mais dont l’échappement signale l’approche bien avant le rétroviseur !
Mais le Costa Rica a bien d’autres atouts. C’est un pays génial à visiter qui offre, sur un mince bandeau de terre (250 km en moyenne) bordé par deux océans, moult paysages et climats différents. Les Ticos sont très accueillants et il faut absolument essayer d’assimiler leur « pura vida ». La nature sauvage est tout simplement hallucinante et possède 6% de la biodiversité mondiale. Cerise sur le gâteau, c’est aussi le pays le plus safe d’Amérique Latine. Quelques bienveillances sont évidemment nécessaires mais on y reviendra dans un article ultérieur.